Pompes à chaleur : un guide complet pour de meilleures performances

Dans cet article, nous verrons comment maximiser l’efficacité des pompes à chaleur, en soulignant le rôle révolutionnaire du système anti-tartre Dropson. Cette approche permet non seulement d’accroître l’efficacité énergétique des pompes à chaleur, mais aussi de promouvoir une solution durable et rentable pour lutter contre le calcaire. Découvrez les clés qui vous permettront d’optimiser votre système, de garantir un fonctionnement efficace et de prolonger la durée de vie de votre équipement.

Principe de fonctionnement d’une pompe à chaleur air-eau

Principe de fonctionnement d'une pompe à chaleur air-eau

1- Les pompes à chaleur utilisent la chaleur de l’air extérieur, même à basse température, pour chauffer ou rafraîchir nos habitations.

2- Le processus commence par l’absorption des calories (énergie thermique) présentes dans l’air extérieur, énergie inépuisable car d’origine solaire.

3- A l’intérieur d’une pompe à chaleur circule un fluide caloporteur, c’est-à-dire un fluide qui a la capacité de transporter la chaleur. Ce fluide a la particularité de se transformer en gaz à basse température, de sorte que la chaleur de l’air ambiant extérieur le fera passer de l’état liquide à l’état gazeux lors de son passage dans l’évaporateur.

4- Ensuite, le gaz est comprimé par un compresseur entraîné par un moteur électrique pour augmenter sa température et l’énergie thermique obtenue est transférée à l’eau chaude et au système de chauffage de la maison.

5- Enfin, le gaz perd de la chaleur, se condense pour revenir à l’état liquide et le cycle recommence, revenant à son point de départ.

Principe de fonctionnement d'une pompe à chaleur air-eau

Ce mécanisme est similaire à celui généré par la compression de l’air dans une pompe à vélo : lorsque l’extrémité est bouchée et que l’air est comprimé, il se chauffe.

Avantages des pompes à chaleur

Les avantages des pompes à chaleur par rapport aux systèmes de chauffage traditionnels sont nombreux et significatifs.

Avantages des pompes à chaleur

Efficacité

En utilisant la chaleur ambiante externe, ces systèmes consomment moins d’énergie que les méthodes traditionnelles qui génèrent de la chaleur en brûlant des combustibles ou en convertissant directement l’électricité en chaleur. Cette caractéristique permet non seulement de réduire les dépenses énergétiques, mais aussi les émissions de CO2, ce qui est conforme aux objectifs de réduction de l’empreinte carbone.

Économies

L’efficacité d’une pompe à chaleur est mesurée par le coefficient de performance (COP), qui indique le rapport entre la quantité d’énergie de chauffage ou de refroidissement fournie et l’énergie électrique consommée. Dans des conditions optimales, une pompe à chaleur peut avoir un COP de 3 à 5, ce qui signifie que pour chaque unité d’électricité consommée, le système peut produire 3 à 5 unités de chaleur. Cette efficacité se traduit directement par des économies sur les factures d’énergie des utilisateurs.

Longue durée de vie

Avec un entretien adéquat, elles ont une durée de vie relativement longue, comparable ou même supérieure à celle de nombreuses solutions de chauffage traditionnel. Les économies réalisées à long terme sur les coûts d’exploitation et l’entretien minimal requis compensent largement l’investissement initial.

Une alternative respectueuse de l’environnement

Un autre point fort est leur flexibilité et leur capacité à fournir non seulement du chauffage mais aussi du rafraîchissement, ce qui en fait une solution tout-en-un pour le confort de la maison tout au long de l’année. En outre, comme elles ne génèrent pas d’émissions nocives directement au point d’utilisation, les pompes à chaleur représentent une option respectueuse de l’environnement, contribuant à réduire la pollution de l’air dans les zones résidentielles.

Comment le calcaire affecte-t-il l’efficacité des pompes à chaleur ?

Le calcaire : le premier facteur à prendre en compte

Le calcaire est un facteur critique qui a un impact négatif sur l’efficacité des pompes à chaleur. Sa présence dans le système d’échange de chaleur entraîne une surconsommation d’électricité, ce qui réduit l’efficacité globale.

Il suffit de 3 mm de calcaire pour augmenter la consommation d’énergie de 30 %, ce qui accroît considérablement les coûts d’exploitation. La qualité de l’eau du réseau peut avoir un impact négatif sur les systèmes d’échange de chaleur. Cela augmente non seulement les factures d’énergie, mais aussi les coûts d’entretien en nécessitant des interventions plus fréquentes pour détartrer et protéger les composants vitaux du système.

En fonctionnement normal, les circuits primaires à basse température d’échange thermique (65°C – 55°C) atteignent une température de 55°C dans le réservoir d’ECS (eau chaude sanitaire).

L’accumulation de calcaire dans l’échangeur de chaleur réduit considérablement l’efficacité de l’échange entre les circuits primaire et secondaire et entraîne une chute brutale de la température du réservoir d’ECS.

Le calcaire : le premier facteur à prendre en compte

Le système anti-tartre DROPSON, une alternative écologique aux systèmes anti-calcaire traditionnels

Les systèmes anti-tartre Dropson sont une alternative écologique aux systèmes anti-calcaire au sel traditionnels et une garantie d’économies d’énergie.

Ils empêchent l’accumulation de calcaire dans les éléments d’échange de chaleur et maintiennent une performance optimale et durable des installations. Dropson influence directement la consommation d’énergie en assurant des conditions optimales d’échange de chaleur entre les circuits primaire et secondaire.

Il utilise la technologie EMI (Electronic Magnetic Impact) qui agit sur les ions de calcium et de carbonate présents dans l’eau, les transformant en microcristaux non incrustants qui s’écoulent simplement dans le système sans adhérer aux surfaces. Cette méthode respectueuse de l’environnement garantit un fonctionnement efficace des pompes à chaleur, sans les effets néfastes associés aux systèmes de détartrage traditionnels.

technologie EMI

1. LA PÉNÉTRATION DE L’EAU

Les ions calcium (CA) et les ions carbonates (CO3), responsables de la formation du calcaire, sont en suspension dans l’eau.

2- L’EFFET VORTEX

L’écoulement laminaire de votre installation est transformé en écoulement turbulent grâce à un système de vortex.

3- MODULE ÉLECTRONIQUE

Contrôle par multizone, différents générateurs d’impacts magnétiques.

4- GÉNÉRATEURS D’IMPACTS MAGNÉTIQUES

Les impacts fonctionnent au rythme de fréquences spécifiques et agissent directement sur l’écoulement turbulent de l’eau.

5- CRISTALLISATION

L’association des impacts magnétiques et de l’énergie cinétique du vortex génère une cristallisation entre les ions calcium et les ions carbone en suspension dans l’eau.

6- MICROCRISTAUX

Les microcristaux ainsi créés ont une structure non incrustante. Ils ne peuvent adhérer à aucun support puisqu’ils sont déjà cristallisés. Ils traverseront votre installation sans s’incruster et seront évacués par les robinets et les canalisations.

Schéma de principe d’une pompe à chaleur air/eau

Schéma de principe d'une pompe à chaleur air/eau

Voici le schéma d’un système de pompe à chaleur air/eau.

En (1) la pompe à chaleur externe, dont le circuit primaire est relié au réservoir d’eau chaude sanitaire (2).

Tout d’abord, soulignons l’importance du ballon d’ECS (2).

1- Il est très important de calculer correctement le volume du ballon, car si sa capacité est trop faible par rapport aux besoins de l’application, il y a un risque que le contenu en eau chaude soit rapidement vidé et que la résistance (7) soit en permanence à la demande, ce qui n’est pas très efficace en termes d’économie d’énergie.

Pour calculer cela, le Code Technique de la Construction (C.T.E.) établit le cadre réglementaire pour le respect des normes de qualité, en tenant compte du fait que, dans le cas des chauffages ou des pompes à chaleur, le stockage se fait généralement à une température plus basse (55ºC) que celle d’un ballon électrique ou à gaz (60 ou 65ºC).

Il est donc nécessaire de prévoir une accumulation d’eau chaude plus importante.

2- Le type de ballon avec échangeur à serpentin doit être adapté pour fonctionner avec un circuit primaire à basse température.

A (65ºC entrée – 55ºC sortie), les ballons à serpentin conçus pour fonctionner avec des chaudières sont généralement conçus pour un circuit primaire à haute température (80ºC-60ºC).

Le fait de ne pas choisir le bon type de ballon de stockage avec serpentin (pour le circuit primaire à basse température) affectera l’efficacité globale de l’installation et augmentera l’utilisation de la résistance de soutien.

3- Il est essentiel de traiter l’eau à l’entrée pour protéger les circuits d’échange de chaleur primaire et secondaire du calcaire et des sédiments, afin de protéger les éléments sanitaires et l’équipement de l’installation. Cela peut se faire à l’aide d’un système anti-tartre DROPSON EMI (3) et d’un filtre à sédiments (4) équipé de préférence d’une cartouche d’une porosité de 50 microns.

4- Astuce : Si votre installation comporte une boucle de retour d’eau chaude sanitaire (5), vous pouvez installer un filtre à particules Dropson à vidange automatique (6) pour éliminer périodiquement les microcristaux de l’installation qui n’ont pas été éliminés par les sorties d’eau. Il est également recommandé de vidanger périodiquement les accumulateurs d’eau en actionnant le robinet de vidange inférieur pendant environ une minute (8).

Les clés de l’économie d’énergie

Maîtriser la consommation d'eau chaude

Maîtriser la consommation d’eau chaude

Pour économiser l’énergie en maîtrisant la consommation d’eau chaude, il est essentiel d’installer des limiteurs de débit sur les douches et les robinets, qui réduisent la consommation d’eau chaude sans nuire au confort. L’utilisation de pommes de douche à faible débit permet de réduire de moitié la quantité d’eau chaude nécessaire, ce qui génère d’importantes économies d’énergie. La surveillance et le réglage de la température de stockage de l’eau chaude à un niveau efficace contribuent également aux économies d’énergie, en évitant les surchauffes et les pertes de chaleur inutiles.

Conclusion : économies d’énergie et durabilité

économies d'énergie et durabilité
économies d’énergie et durabilité

Pour conclure, nous passons en revue les étapes les plus importantes pour assurer ce que nous appelons « la chaîne des économies d’énergie » pour notre installation aérothermique ou de pompe à chaleur.

1- Avoir une pompe à chaleur ou un système aérothermique adapté à l’application, et qui est correctement calculé selon les recommandations du code du bâtiment et les recommandations du fabricant.

2- Pour que votre pompe à chaleur fonctionne correctement et efficacement, il est important de protéger les circuits d’échange de chaleur contre le calcaire et les appareils sanitaires avec le système anti-tartre Dropson.

3- Pour économiser l’énergie, il est important de réduire ou de contrôler la consommation d’eau chaude, en limitant le débit des appareils sanitaires.

Consulter le site de l’anti-tartre Dropson.